Les résultats de 2018 sont eux, assez encourageants. Ils révèlent une baisse du nombre de couches contenant des traces de produits toxiques et de bons résultats chez Pampers. Ainsi la mission « zéro résidus toxiques dans leurs couches » que certaines marques revendiquent maintenant semble fonctionner, même dans un laps de temps très court.
Encore des progrès à faire
En revanche les analyses n’ont pas révélé que des choses positives. Elles ont mis en évidence la présence d’un résidu du glyphosate dans quatre références, et d’autres marques de couches-culottes contiennent des traces de pesticides, composés organiques volatils ou halogénés. En cause notamment, le changement de sous-traitant chargé de la fabrication, comme ce fut le cas pour Love & Green.
Le magazine souligne aussi le peu d'amélioration dans la transparence des informations auprès des consommateurs. Bien qu'il ait déjà dénoncé l'an passé que les emballages ne mentionnaient pas la présence de matières plastique et de cellulose (fibre issue du bois), 60 Millions de Consommateurs constate que les fabricants ne font toujours pas figurer les matières premières qui entrent dans la composition des couches. Seuls certains la mentionnent sur leur site internet.
Nouveauté cette année : nos tests de capacité d’absorption qui confirment que c’est bien la présence de traces de substances peu recommandables qui pose problème dans les couches pour bébé - malgré des résultats inégaux entre les produits.
Source : 60 Millions de consommateurs
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