Parc pour bébé : comment le choisir ?

Pour préparer les repas, changer les autres enfants, aller aux toilettes… un parc peut se révéler grandement pratique. Il permet en effet de mettre en sécurité le ou les tout-petits accueillis. Voici les critères à prendre en compte pour bien choisir votre parc pour enfant, à utiliser toutefois avec modération. Encombrement Un parc, cela prend de la place. Et votre pièce principale est peut-être déjà bien encombrée. Si c’est le cas, optez pour un parc pliable, qui vous permettra, lors du départ des enfants accueillis, d’avoir plus d’espace. Plusieurs modèles, qu’ils soient en bois ou en maille filet, sont dotés d’un système de pliage. N’hésitez pas à faire un petit test en magasin, car il faut que l’ouverture et la fermeture du parc soient aisées afin que vous ne perdiez pas trop de temps. Par ailleurs, puisqu’il ne s’utilise qu’en « solution de dépannage », ce n’est pas la peine d’opter pour un parc immense. Vérifiez et comparez donc bien les dimensions des produits qui vous plaisent. Enfin, peut-être aurez-vous besoin de déplacer le parc. Dans cette hypothèse, préférez un modèle à roulettes.
SoliditéComme les autres produits de puériculture indispensables à l’exercice de votre métier, le parc est un vrai investissement. Aussi, il va de soi que vous devez acquérir un parc de bonne qualité, qui durera le plus longtemps possible. Les parcs en bois ont plutôt bonne réputation en la matière.

EntretienIndéniablement, les parcs en bois sont plus faciles d’entretien que les parcs en maille filet. Si le parc que vous achetez dispose d’un tapis de sol, vérifiez bien que celui-ci soit lavable.

MatièreParc à barreaux en bois : il en existe de différentes dimensions et formes. Carré, rectangle ou octogonal, vous n’aurez que l’embarras du choix. 
Un des intérêts de ce type de parc est que le tout-petit pourra s’aider des barreaux pour se mettre debout. Certains se plient et/ou comprennent des petites roues bloquantes. On aime aussi les modèles dont les planches peuvent se régler sur des hauteurs différentes, ménageant ainsi votre dos. Et, comme vu précédemment, ils sont faciles d’entretien. 
Parc à barreaux en métal : les modèles que nous avons repérés sont ingénieux. Ils proposent en effet plusieurs formes possibles (carré, octogonale par exemple) et se transforment en barrière de protection. Ils peuvent également servir à séparer deux pièces. Ils sont dotés d’une petite porte avec système de fermeture pour que l’enfant ne puisse pas sortir. Enfin, ils sont pliables.
Parc en plastique : ils sont en général à barreaux. Pour le nettoyage, ils sont top. La plupart se transforment en barrière de sécurité et sont extensibles. On aime ou on n’aime pas, mais ils sont très colorés. Certains proposent même un panneau de jeux. Avec leur petite porte, ils plaisent beaucoup aux tout-petits. Côté solidité et résistance dans le temps, c’est à voir…
Parc en maille filet : il a pour mérite d’être plus doux pour les enfants que les barreaux contre lesquels ils peuvent se cogner. Il se plie en général facilement et ne prend que peu de place une fois rangé dans sa housse de transport bien souvent fournie avec, comme les lits parapluie classiques. Vous apprécierez peut-être aussi le fait que l’enfant ne soit pas à même le sol, notamment quand le parc est installé sur du carrelage. Les matelas sont en effet bien souvent fins et isolent mal contre le froid. En revanche, il est plus compliqué de nettoyer une maille filet que des barreaux. Par ailleurs, elle offre une visibilité moindre aux enfants.

SécuritéL’achat d’occasion est à éviter, pour des questions d’hygiène bien entendu, mais aussi et surtout pour des raisons de sécurité. Hauteur du parc, espace entre les barreaux… les produits neufs que vous trouvez dans le commerce sont normalement conformes aux exigences de sécurité. Pensez toutefois à poser la question en magasin.

PrixParc à barreaux en bois : de 75 à 200 euros
Parc à barreaux en métal : de 100 à 200 euros
Parc en plastique : de 100 à 150 euros
Parc en maille filet : de 60 à 160 euros
Article rédigé par : Caroline Feufeu
Publié le 22 mars 2017
Mis à jour le 09 décembre 2019