Bien-traitance et petite enfance
Chroniques
Difficile effectivement de sourire à la lecture de la chronique intitulée « La paix dans le pays de l’enfance » (en référence à une citation d’André Stern) qui illustre l’épuisement des professionnels de la petite enfance. Dans « Justine et les pieds cassés », le sourire est jaune devant les difficultés de la directrice de crèche à faire évoluer son équipe parce que la « partie est perdue d’avance ». On est surpris pas « Le trèfle à 4 feuilles », chronique décalée qui salue les jardiniers et les jardinières de jeunes enfants. On se rassure en lisant « Un parterre d’artistes » qui prouve qu’« être simplement dans l’être » entre professionnels pour réfléchir à sa pratique n’est pas un rêve inatteignable…
Chaque chronique se lit indépendamment. Entre les lignes, la colère de l’auteur est palpable, voire contagieuse, mais peut se transformer en énergie pour les professionnels convaincus et militants de la bientraitance. Une énergie nécessaire pour continuer, malgré les vents contraires, à se faire entendre et à défendre des projets pour un accueil de qualité.
12,50
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